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Amine Bouhafa, lauréat du prix France Musique Sacem de la musique de film 2015

Pour Timbuktu d'Abderrahmane Sissako

Après délibération du jury, le 9ème prix France Musique – Sacem de la musique de film est décerné au compositeur Amine Bouhafa.

Ce prix récompense une oeuvre sélectionnée parmi des films sortis l’année précédente, toutes esthétiques confondues. Le gagnant reçoit une commande de Radio France, créée et interprétée l’année suivante par l’Orchestre Philharmonique de Radio France.

Le 9ème prix France Musique – Sacem de la musique de film sera remis le vendredi 13 novembre 2015 à l’auditorium de la maison de la radio à Paris, au cours d’un concert de l’Orchestre Philharmonique de Radio France.

Au programme de cette soirée : des pièces de l’âge d’or du cinéma hollywoodien et la création de l’oeuvre de Marc Marder, lauréat 2014 du prix.

Biographie d’Amine Bouhafa


Après avoir obtenu son diplôme en piano au conservatoire de Tunis à l’âge de 12 ans, Amine Bouhafa entre au CRR de Paris pour suivre des cours de jazz, d’orchestration et d’harmonie. Parallèlement, il intègre une classe préparatoire maths sup-maths spé et entre par la suite à Télécom SudParis dont il sort ingénieur en système d’information. À 15 ans, il entame sa carrière de compositeur de musique de film qui atteint la consécration avec la partition de Timbuktu, récompensée par le César et par le prix FESPACO 2015 de la meilleure musique originale. Entre temps, il a composé pour les séries télévisées égyptiennes les plus regardées et a signé la musique de deux longs métrages du réalisateur Mohammed Zran : Vivre ici en 2009 et Dégage, le peuple veut en 2012.

Timbuktu

Non loin de Tombouctou tombée sous le joug des extrémistes religieux, Kidane mène une vie simple et paisible dans les dunes, entouré de sa femme Satima, sa fille Toya et de Issan, son petit berger âgé de 12 ans. Récit d’un destin qui bascule pour faire face aux nouvelles lois absurdes et tragiques d’occupants venus d’ailleurs…

Le film a notamment été récompensé par 7 Césars, ainsi que le Prix cinéma de France Culture.


LE PRIX

Dans le domaine du cinéma, France Musique et la Sacem partagent la même passion pour la création musicale en remettant chaque année depuis 2006 le Prix France Musique – Sacem de la musique de film.

Les précédentes éditions ont permis de couronner et de commander des oeuvres originales aux compositeurs suivants : Alberto Iglesias, Franco Piersanti, Gabriel Yared, Léo Sujatovich, Carlo Crivelli, Bruno Coulais, Pawe? Mykietyn et Marc Marder.

Les artistes sélectionnés pour cette édition 2015 :

Pierre Adenot - La Belle et la Bête de Christophe Gans
Jean-Michel Bernard - Cadences Obstinées de Fanny Ardant
Amine Bouhafa - Timbuktu d’Abderrahmane Sissako
Le groupe Caravaggio - L’Amour est un crime parfait d’Arnaud et Jean-Marie Larrieu
Alexandre Desplat - Grand Budapest Hotel de Wes Anderson
Grégoire Hetzel - La Chambre bleue de Mathieu Almaric
Le groupe Hit’n’Run - Les Combattants de Thomas Cailley
Hervé Lavandier Minuscule – La vallée des fourmis perdues de Thomas Szabo et HélèneGiraud
Le groupe Low Entertainment - Hippocrate de Thomas Lilti
Laurent Petitgand - Le Sel de la terre de Julian Ribeiro Salgado et Wim Wenders
Philippe Rombi - Une Nouvelle amie de François Ozon
Béatrice Thiriet - Bird People de Pascale Ferran

Composition du jury 2015 :

Pierre Charvet, compositeur et Directeur adjoint de France Musique
Robin Coudert, compositeur
Thierry Jousse, réalisateur et producteur de l’émission « Easy Tempo » sur France Musique
Marc Marder, compositeur et lauréat 2014 du prix France Musique-Sacem
Laurent Petitgirard, compositeur, Président du Conseil d’Administration de la Sacem et Président du Jury
Patrick Sigwalt, compositeur et secrétaire général de l’UCMF
Marc Voinchet, Directeur de France Musique

Publié le 03 septembre 2015

Signature d'un contrat entre la Sacem et iTunes pour le lancement d'Apple Music

La Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de Musique) vient d'annoncer qu'elle a conclu le 28 juin dernier, un contrat avec iTunes pour Apple Music.

Ce contrat couvre 41 territoires et porte sur l'exploitation d’oeuvres musicales et de vidéomusiques des membres de la Sacem disponibles sur le nouveau service de streaming de musique d'Apple et sur sa toute première radio "live" Beats 1. Il prévoit également des modalités spécifiques pour le service gratuit Connect.

Ledit accord garantit que l'utilisation desoeuvres des auteurs, des compositeurs, des réalisateurs et des éditeurs représentés par la Sacem, est dûment couverte juridiquement au lancement du service avec l’assurance d’une rémunération équitable pour l’ensemble des ayants droit.

"La capacité de la Sacem à pouvoir signer rapidement des accords avec les services les plus innovants qui font leur apparition sur le marché comme Apple Music démontre l’efficacité inégalable de la gestion collective du droit d’auteur dans l’univers numérique. La Sacem se réjouit d’accompagner ces acteurs qui participent à l’accroissement de l’offre légale de contenus culturels et permettent à nos membres d’obtenir une juste rémunération pour la diffusion de leurs oeuvres".

Jean-Noël Tronc, Directeur général de la Sacem


À propos de la Sacem

La Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique (Sacem) a pour vocation de représenter et défendre les intérêts de ses membres en vue de promouvoir la création musicale sous toutes ses formes (de la musique contemporaine au jazz, rap, hip-hop, chanson française, musique de films, musique à l’image…) mais également d’autres répertoires (humour, poésie, doublage-sous titrage…)

Sa mission essentielle est de collecter les droits d’auteur et de les répartir aux auteurs, compositeurs et éditeurs dont les oeuvres ont été diffusées ou reproduites. Organisme privé, la Sacem est une société à but non lucratif gérée par les créateurs et les éditeurs de musique qui composent son Conseil d’administration.

Elle compte 153 000 membres dont 18 530 créateurs étrangers (4 330 nouveaux membres en 2014) et représente plus de 90 millions d’oeuvres du répertoire mondial.

En 2014, la Sacem a réparti des droits à 276 000 auteurs, compositeurs et éditeurs dans le monde, au titre de 2 millions d’oeuvres.

Publié le 21 juillet 2015


Festival de la Fiction TV

9-13 septembre 2015

Atelier et showcase Sacem le 11 septembre

Le Festival de la fiction TV de La Rochelle a proposé à ses 35 000 spectateurs et aux 2000 professionnels présents de se retrouver autour de 38 oeuvres inédites, reflet du meilleur de la production à venir, sélectionnées pour la compétition officielle.

Présidé cette année par Michèle Laroque, le jury a départagé 27 téléfilms et séries françaises, ainsi que 11 oeuvres étrangères.

Les rendez-vous Sacem

Durant le festival, la Sacem présente Le Laboratoire de la musique de films ! Une formation qui
teste et analyse un panorama de tout ce qui peut arriver dans l’aventure qui lie compositeur et réalisateur, deux univers dont on souhaite qu’ils se marient en parfaite harmonie… Parrainée par le tandem réalisateur/compositeur Philippe Triboit et François Staal, la formation, conçue par Cristal  production en collaboration avec Gréco Casadesus, proposera d’identifier les spécificités inhérentes au métier de la création de musique pour l’image ; de favoriser l’inspiration, de guider l’idée, et la conception d’une musique adaptée ; d’optimiser les techniques et les moyens.

Vendredi 11 septembre à 15h - Salle 4 du Dragon pour assister à la clôture du Laboratoire, écouter les créations musicales.


 
Les éditeurs accompagnés par la Sacem, dans le cadre del’opération French Vip - Vanguard of Independent Publisher, ont proposé un showcase.
Les jeunes éditeurs indépendants, Thomas Jamois (Velvetica publishing), Myriam Kanou (Les Editions Jules) et Rodolphe Dardalhon (Roy Music) présenteront trois artistes : Brisa Roché Trio, (Vevetica Music Publishing), No Money Kids (Roy Music Music), et TBBT (les Editions Jules). Avec cette soirée, la Sacem a proposé d’accompagner et de valoriser le travail de ces jeunes éditeurs et leurs artistes auprès de professionnels de l’audiovisuel présents tout au long du festival.
 
French Vip est une opération initiée par la Sacem en janvier 2011 avec le Midem, le Bureau Export, la Csdem et le FCM, destinée à accompagner et valoriser, lors de grands rendez-vous musicaux (salons,festivals) le travail de jeunes éditeurs indépendants.

Vendredi 11 septembre à 22h30 - La Brasserie des Dames (Place Barentin au pied de la Grosse Horloge).

Publié le 26 août 2015


Festival Ombres et Lumières : rencontre entre musique et univers carcéral

25-27 septembre 2015
                                                                      

Interview d'Anne-Marie Sallé, directrice artistique

Pouvez-vous présenter le festival Ombres et Lumières ?

Ombres et Lumières est un festival intimement lié au lieu où il se déroule.
A Clairvaux, l'équipement culturel jouxte la prison. Les oeuvres présentées sont en phase avec l’atmosphère du site, plutôt grave. La programmation tourne autour des deux dimensions suggérées par l'abbaye et la prison : l'enfermement, volontaire des moines et subi des détenus, et la spiritualité. On retrouve de la musique sacrée, mais aussi toutes les oeuvres qui se rapportent à ces thématiques. Cette année nous présentons un spectacle du comédien Alain Carré, et du pianiste François-René Duchâble, sur des textes d'écrivains ayant connu des situations d'enfermement, dans lequel seront intégrés des textes écrits par les détenus de Clairvaux dans le cadre de l’atelier d’écriture que je mène avec eux. La programmation fait la part belle à la musique de chambre, aux petits ensembles, aux récitals de piano, avec également de nombreux choeurs.

Comment s'est créé ce festival ? Quel travail menez-vous avec la prison ?

En 2004, j'ai proposé à l'association qui gère le site touristique de Clairvaux de créer un festival de musique. Je venais de m'installer dans la région. Je travaillais jusqu'alors comme administratrice de la maîtrise de Radio France. Le projet artistique se devait de prendre en compte la proximité de la prison, incluse dans le site. Dès la première édition, nous avons apporté la musique en prison, en programmant des concerts pour les détenus. Au fil des échanges avec ces derniers, je me suis dit qu'il serait intéressant de les impliquer davantage qu’en spectateurs.

A partir de 2008, j'ai invité un compositeur en résidence, Thierry Machuel, et créé un atelier d'écriture avec les détenus, dont le but était de réaliser le livret de l’oeuvre chorale commandée au compositeur. Cela permet de mettre en oeuvre ce qui, selon moi, est l'essence même des festivals : la création mais aussi la sensibilisation des publics éloignés de la culture. Chaque année, nous choisissons un thème pour l’atelier et les écrits qui en sortent sont mis en musique par le compositeur. Et cela donne lieu à la présentation d'une création chorale lors du festival. Les détenus sont donc déclarés à la Sacem en tant qu'auteurs. Thierry Machuel est resté pendant 4 ans. Philippe Hersant lui a succédé, et sera encore là l'année prochaine. Clairvaux attire les créateurs ! C'est un lieu et un festival atypiques qui ne peuvent laisser indifférents ni les artistes ni le public.

Comment s'organise le travail avec les détenus ? Combien participent ?

Cela oscille, en fonction des transferts et des sorties, entre 6 et 12. L'année dernière, nous avons édité un livre, Tentatives d'évasion, dans lequel sont présents les 26 détenus ayant participé à l'atelier depuis 2008. Je leur rends visite une fois par mois ou plus si nécessaire, pour travailler sur l'écriture et le compositeur m’accompagne 3 ou 4 fois, ce qui est très important car il connaît les détenus dont il va réaliser une sorte de portrait musical . Il est intéressant aussi de voir l'évolution des thèmes. La première année, c'était autour de la nuit et de l'enfermement, puis l'oubli, la limite, pour aboutir à la métamorphose. Et l'année prochaine ce sera le retour à la vie, la possibilité d'une sortie. Cette démarche participe donc d'un processus de réinsertion, de réflexion sur soi. Pour des personnes qui ne sont perçues qu'à travers leur statut de criminel, montrer au public, à l'extérieur, leur capacité à produire de belles choses, c'est très important.

J'organise aussi des concerts pour les détenus en dehors du festival, via un partenariat avec la
Fondation Banque populaire, qui soutient les jeunes talents. Il y a donc chaque année un concert à Noël. Et souvent aussi, des concerts, parfois ensembles de rock, pour la fête de la musique.

Quels sont les financements du festival ?

Le festival est financé par la Drac, la Région et le Département, et également en grande partie par des mécènes. Durant 5 ans, nous avons le soutien de la Fondation Orange. La Sacem nous accompagne depuis le début sur les commandes d'oeuvres et le concert de création sorti des murs. De même, elle a offert un piano à la maison centrale de Clairvaux par le biais de l'opération Play me I'm yours, qui visait à en installer dans les lieux publics puis à en faire cadeau à des associations. Il servira à la fois pour un détenu qui souhaite apprendre et pour nos travaux de répétition des pièces piano/voix dans le projet de création 2016.

Quels vont être les temps forts cette année ?


Cette année, un concert a été donné le 20 juin par la Maîtrise de Notre Dame de Paris avec une création de Philippe Hersant en hommage à Saint Bernard, pour les 900 ans de la fondation de Clairvaux, ainsi que deux concerts de musique baroque avec l’Ensemble Energeïa dans des petites églises proches, visitées par Saint Bernard.

Les 25, 26, et 27 septembre, le festival débute par la création de Carré et Duchâble le vendredi. Le samedi, l'ensemble Blik de Noémi Waysfeld présentera un spectacle autour des chants écrits par des détenus sibériens, ramenés en France par Dina Vierny, qui les avait appris par coeur, car aucun texte ne pouvait franchir les frontières pendant la guerre froide. Elle les a enregistrés en arrivant en France.

Il y aura également le samedi un grand concert de musique de chambre piano/violon par Régis Pasquier et Emmanuel Strosser. Et le dimanche un ensemble de 5 jeunes chanteurs a capella Perspectives, qui revisite la musique chorale, de Schütz jusqu'aux Beatles en partenariat avec la fondation Banque Populaire.

Le festival se terminera le dimanche à 17h30 par un concert en hommage à Bernard de Clairvaux Sancta Maria, sur le thème de la vierge Marie, par le choeur Sequenza 9-3 dirigé par Catherine Simonpietri.

 
 
Le rugby à l'honneur
 
Du 18 septembre au 31 octobre prochain, la France va vibrer au rythme du rugby. Profitez de cette opportunité pour diffuser les matchs dans votre établissement !
 

Plus de 15 millions de téléspectateurs ont suivi la dernière finale opposant le XV de France à la Nouvelle-Zélande.

Les passionnés chercheront un lieu convivial pour se réunir entre amis et soutenir leur équipe.

Ne manquez pas l’opportunité de diffuser cet évènement et de générer du chiffre d’affaires dans votre établissement !

L’installation d’un téléviseur nécessite au préalable d’obtenir une autorisation de la Sacem car les programmes diffusés contiennent de nombreuses oeuvres protégées par le droit d’auteur.

Pour vous permettre de profiter de cette opportunité, la Sacem vous propose de souscrire au forfait de droit d’auteur « Spécial rugby » permettant l’installation temporaire d’un téléviseur du 18 septembre au 31 octobre 2015.

Pour cela, retournez-nous dès aujourd’hui la demande d’autorisation accompagnée de votre chèque à l’adresse de votre délégation Sacem.

Publié le 04 août 2015




La Parisienne 2015 : 72 femmes de la Sacem dans la course !

Un vrai challenge d'entreprise

67, c’est le nombre de salariées de la Sacem, coureuses de La Parisienne, édition 2015. Cette année encore, 5 jeunes filles de salariées les ont accompagnées formant ainsi une grande équipe de 72 femmes.

Toutes unies pour lutter contre le cancer du sein, elles étaient vêtues du t-shirt officiel de la course, mais aussi de signes distinctifs : bandana et tatouages éphémères ornés de notes de musique. Histoire de dire ‘quelque chose’ de la Société des Auteurs, Compositeurs et Editeurs de musique, l’une des plus importantes équipes d’entreprise représentées. Parcourant les 6,7 kilomètres et obtenant la 60ème position, l’équipe de la Sacem a fait preuve, malgré la pluie, d’une forte détermination et d’un réel esprit d’équipe dans les rues de Paris.


SOLIDARITE ET ENGAGEMENT

Depuis 2011, les femmes engagées font le succès grandissant de la Parisienne qui chaque année rallie toujours plus.

A la Sacem, c’est la même histoire : les 40 participantes de la première année sont devenues 72 cette année, associant en plus des salariées, des membres de leurs familles comme leurs jeunes filles. A tel point que la Parisienne est devenue le « rendez-vous » de l’année.

Avec ce challenge aussi bien collectif qu’individuel, chaque coureuse a pu relever ses propres défis dans une ambiance enthousiaste et chaleureuse.

A l’initiative de la participation à la Parisienne dès sa création, Louis-Jérôme Texier, DRH de la
Sacem partage cette expérience : « La Sacem participe depuis cinq ans maintenant à La Parisienne car c’est une course qui est associée à la lutte contre le cancer du sein et qui correspond à la valeur d’engagement de la société et à l’implication des salariées envers cette cause importante. C’est une course qui valorise nos équipes féminines et qui représente un vrai challenge d’entreprise avec une cohésion forte. Ouverte à toutes, elle combine la participation et la performance, éléments essentiels dans le travail d’équipe. Il est maintenant inscrit dans le calendrier pour nos collaboratrices : il ne peut plus être question de ne plus y participer ».


TEMOIGNAGES

Safia R., coureuse depuis 2011 : « Je participe à La Parisienne car j’aime courir avec les copines et faire connaissance d’autres collègues dans un environnement solidaire. Je cours notamment avec une pensée pour celles qui luttent contre la maladie, pour des collègues qui ont cette maladie et pour celles qui nous ont quittées. Nous sommes des femmes et nous courons pour les femmes. Il n’y a pas d’esprit de compétition entre nous. Chacune relève son propre défi.»

Noémie G., coureuse pour la 1ère fois : « Je participe à La Parisienne pour la première fois, afin de découvrir l’ambiance de cette course mythique, le symbole qu’elle représente pour les femmes et apporter ma contribution au soutien à la recherche pour lutter contre le cancer du sein. Le fait de courir sous les couleurs de la Sacem, avec le challenge entreprise, donne une vraie dimension collective et conviviale à cette course, qui m’a permis de découvrir et de rencontrer des collègues sportives et motivées grâce aux 2 entraînements programmés avec un des coachs sportif de La Parisienne ».

Publié le 15 septembre 2015


 
 
 
 
 



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