Nous reproduisons ci-après, in extenso, trois lettres de nos amis.
Josette DAVID Joué-lès-Tours, le 8 février 2016
« Madame,
Je vous présente, ainsi qu’à votre équipe – certes avec retard – ce dont vous voudrez bien m’excuser, tous mes meilleurs voeux pour que cette nouvelle année 2016 soit, pour vous tous, la plus riche possible en satisfaction de tous ordres et qu’elle apporte à tous la santé, tellement précieuse.
Je remercie tous les membres du bureau pour leur dévouement quant au travail accompli et c’est bien entendu, toujours avec intérêt, que je lis le « Trait d’Union » lequel nous permet de rester en contact avec notre ancienne maison et, bien sûr, d’y retrouver des nouvelles des anciens collègues. »
Alain et Marylène LARCHER Argenteuil, le 4 février 2016
« Cher amis,
Recevez notre adhésion pour l’année 2016, avec nos remerciements pour votre engagement, accompagnés de l’assurance de notre amitié.
Avec une pensée toute particulière pour notre chère Ginette, irremplaçable, dévouée et très
représentative Présidente.
A bientôt le plaisir de vous revoir.
Bises à toutes et à tous. »
Claude LACHAUD Le 8 février 2016
« Chers(es) amis(es)
C’est décidé, la journée ne se passera pas sans que je ne vous remercie pour votre carte d’anniversaire. Eh oui !! 80 ans ! Mais où sont-ils passés ? En effet, le 2 janvier 1936 naissait à TULLE (la ville des Présidents) un enfant du sexe masculin qui a eu plaisir à faire un bout de chemin en votre compagnie (juillet 1963 à janvier 1996).
Pour en arriver là, la route a été longue et tortueuse, mais nous en sommes venus à bout.
J’emploie sciemment un pluriel car je tiens à rendre hommage à ma merveilleuse épouse qui m’a supporté (dans tous les sens du terme). En ce moment, je l’aide à supporter la terrible maladie àlaquelle elle est confrontée.
Je ne veux pas jouer les patriarches en vous donnant des leçons de vie et me contenterai de vous souhaiter de vivre, sereinement et en paix avec vous-même, une retraite aussi longue et heureuse que possible.
Grosses bises à toutes et à tous.
P.S. – Une formule entendue (et retenue) en 1948 : « vos menaces glissent sur le parapluie de mon indifférence ». Pensez-y. Ca aide. »