La SACEM, Une entreprise au coeur du numérique
A la SACEM, 80 collaborateurs et de nombreux partenaires travaillent au développement des Systèmes d’Information qui ne cessent d’évoluer pour faire face aux enjeux de l’attribution des droits d’auteur à l’ère numérique.
La mutation extrêmement rapide des modes d’usage de la musique, tout comme leur mondialisation, ont poussé la SACEM à accélérer sa transformation digitale depuis des années. Elle est aujourd’hui un acteur mondial de la gestion des droits numériques.
La mutation extrêmement rapide des modes d’usage de la musique, tout comme leur mondialisation, ont poussé la SACEM à accélérer sa transformation digitale depuis des années. Elle est aujourd’hui un acteur mondial de la gestion des droits numériques.
En développant des services nouveaux et en exploitant des technologies de pointe (Elastic Search, Hadoop…), la SACEM relève notamment le défi de gérer et traiter d’énormes volumes de données.
En 2014, elle a traité plus de 3 milliards de données d’usage, représentant 303 milliards d’actes (téléchargement, streaming…) qui ont généré 250 millions de lignes de répartition de droits aux auteurs, compositeurs ou éditeurs. Un chiffre qui croît chaque année. La SACEM a contractualisé des accords de licences avec tous les services de musique et de contenus audiovisuels en ligne qui couvrent jusqu’à 130 territoires à travers le monde dont elle assure la gestion en s’appuyant sur une base de données des oeuvres qui est mise à jour de manière dynamique en fonction de l’étendue des apports, des territoires et des modes d’exploitation des oeuvres.
Parmi les projets de la DSI, qui ont marqué le jury, l’application Sharon (Shared Online) créée en 2015, valorise les données en provenance des plateformes de streaming, permettant l’analyse des musiques et vidéos écoutées ou vues sur les plateformes. En 2016, cette application s’enrichit de métadonnées provenant de bases externes ou réseaux sociaux, qualifiant le contenu des oeuvres diffusées. Autant d’outils qui font de la SACEM, un leader mondial de la gestion collective des droits d’auteur, en la positionnant à la pointe de l’innovation.
Dans un tout autre domaine, la suite applicative Smart a reçu un très bel écho au sein du jury.
Rares sont en effet les entreprises à proposer une véritable mobilité à leurs forces de vente. Grâce à ses capacités décisionnelles, les équipes de terrain du réseau régional de la SACEM identifient les secteurs avec le plus de potentiel et optimisent leurs tournées.
Les clients sont géolocalisés sur leur Smartphone et l’ensemble du processus de contractualisation avec les clients est dématérialisé et traité sur tablette.
Engagée dans une politique numérique et dans un souci de performance, de proximité et de transparence, la Sacem s’attache à apporter le maximum de services en ligne à ses membres, comme à ses clients.
Aujourd’hui, ce sont 68 000 membres auteurs, compositeurs et éditeurs qui disposent d’un compte personnel sur sacem.fr et y utilisent quotidiennement les services proposés (dépôt d’oeuvres en ligne, consultation des relevés de diffusion, visualisation dynamique et interactive de leurs revenus, déclaration de leurs programmes d’oeuvres…). Neuf mois après le lancement de sacem.fr, 20 000 clients se sont déjà connectés pour établir un contrat ou payer en ligne.
« La transformation digitale est au coeur du programme de modernisation de la Sacem qui consacre une part croissante de ses investissements aux développements de ses infrastructures techniques afin d’offrir à ses membres et à ses clients les meilleurs services partout dans le monde. Disposer des meilleurs outils numériques est un atout indispensable pour garantir la meilleure valorisation possible du droit d’auteur à l’ère du numérique et de la globalisation ».
Jean-Noël Tronc, Directeur général de la SACEM.
Publié le 26 janvier 2016
Parmi les projets de la DSI, qui ont marqué le jury, l’application Sharon (Shared Online) créée en 2015, valorise les données en provenance des plateformes de streaming, permettant l’analyse des musiques et vidéos écoutées ou vues sur les plateformes. En 2016, cette application s’enrichit de métadonnées provenant de bases externes ou réseaux sociaux, qualifiant le contenu des oeuvres diffusées. Autant d’outils qui font de la SACEM, un leader mondial de la gestion collective des droits d’auteur, en la positionnant à la pointe de l’innovation.
Dans un tout autre domaine, la suite applicative Smart a reçu un très bel écho au sein du jury.
Rares sont en effet les entreprises à proposer une véritable mobilité à leurs forces de vente. Grâce à ses capacités décisionnelles, les équipes de terrain du réseau régional de la SACEM identifient les secteurs avec le plus de potentiel et optimisent leurs tournées.
Les clients sont géolocalisés sur leur Smartphone et l’ensemble du processus de contractualisation avec les clients est dématérialisé et traité sur tablette.
Engagée dans une politique numérique et dans un souci de performance, de proximité et de transparence, la Sacem s’attache à apporter le maximum de services en ligne à ses membres, comme à ses clients.
Aujourd’hui, ce sont 68 000 membres auteurs, compositeurs et éditeurs qui disposent d’un compte personnel sur sacem.fr et y utilisent quotidiennement les services proposés (dépôt d’oeuvres en ligne, consultation des relevés de diffusion, visualisation dynamique et interactive de leurs revenus, déclaration de leurs programmes d’oeuvres…). Neuf mois après le lancement de sacem.fr, 20 000 clients se sont déjà connectés pour établir un contrat ou payer en ligne.
« La transformation digitale est au coeur du programme de modernisation de la Sacem qui consacre une part croissante de ses investissements aux développements de ses infrastructures techniques afin d’offrir à ses membres et à ses clients les meilleurs services partout dans le monde. Disposer des meilleurs outils numériques est un atout indispensable pour garantir la meilleure valorisation possible du droit d’auteur à l’ère du numérique et de la globalisation ».
Jean-Noël Tronc, Directeur général de la SACEM.
Publié le 26 janvier 2016
